Le stress : définition, causes, symptômes et comment le gérer

Temps de lecture
9 min

Le stress est un mécanisme permettant à tous les êtres vivants aussi bien les plantes, les animaux et les humains de survivre. S’il est modéré, il améliore la mémoire et permet d’enregistrer des informations précieuses concernant la survie de l’espèce pour en faire profiter les générations suivantes. Dans le cas contraire, il peut provoquer des problèmes de santé, voire une grave maladie.

En trouvant l’équilibre, le stress peut être un allié précieux afin d’être efficace et d’augmenter ses capacités. A l’heure actuelle, les facteurs de stress sont différents aussi bien pour les animaux d’élevage, par exemple, que pour les êtres humains qui subissent des situations stressantes au travail, à l’école, à cause du chômage et avec les nouvelles technologies (réseaux sociaux, e-mails,…).

Dans nos sociétés modernes, beaucoup de personnes sont victimes de Burn-Out, le mal du siècle, qui entraîne l’épuisement. Alors, comment adapter le « fight or flight » de nos ancêtres à la vie quotidienne ?

Jeune femme stressée au travail

Définition du stress

Téléconsultation gratuite
*appel gratuit fixe et mobile Fr. Métrop./Outre-mer

 

Le mot stress apparaît en 1925 grâce à Hans Selye (1905-1982), médecin et endocrinologue hongrois. Il développe la théorie du syndrome général d’adaptation (SGA).

Pour lui, le stress se scinde en trois phases : la phase de réaction d’alarme, la phase de résistance et la phase d’épuisement. Il définit le stress comme « l’ensemble des mécanismes physiologiques et psychologiques enclenchés par un sujet pour s’adapter à une situation nouvelle. Lorsque l’organisme doit faire face à un stimulus (stresseur), il produit deux réactions, l’une spécifique, destinée à lutter contre l’agression subie, l’autre non spécifique, visant à rétablir l’état d’équilibre (homéostasie) menacé par la première réaction ». [1]

Par la suite, Henri Laborit (1914-1995), neurobiologiste, conçoit la théorie de l’inhibition de l’action à la suite d’une expérience dans laquelle un bruit (élément stressant) est émis en présence d’un rat. Dans la première étape, le rat peut passer dans un autre compartiment pour l’éviter, c’est la solution de fuite. Puis, dans la deuxième étape de l’expérience, le rat ne peut plus fuir le bruit (la punition), ainsi il s’inhibe. Enfin, dans la troisième expérience, le rat est accompagné d’un congénère et il devient agressif à l’écoute du bruit.

Chez l’homme, l’angoisse, s’accompagne de perturbations biologiques profondes, et éventuellement de maladies psychosomatiques. L’être humain est régi par des lois sociales qui interdisent cette violence défensive. C’est pourquoi, il ne peut pas lutter ou fuir, et en résulte une inhibition. A supposer qu’il soit dans l’agressivité, il va somatiser (se retourner contre son propre corps) voire adopter des conduites suicidaires. Lorsqu’il ne peut pas être agressif envers les autres, il l’est envers lui-même. L’homme est pris au piège, n’a pas le pouvoir d’agir et s’inhibe.

Que peut provoquer le stress et l’angoisse ?

Le stress provoque un ensemble de réactions physiologiques dans l’organisme qui se découpent en trois étapes : l’alerte, la résistance et l’épuisement.

Tout d’abord, lorsque le stress sonne l’alarme, le cerveau préfrontal n’est plus concerné et le système nerveux sympathique est stimulé (dilatation des pupilles, augmentation de la fréquence cardiaque, augmentation de la pression sanguine, augmentation de la tension musculaire,…).

L’hypothalamus active l’hypophyse par la sécrétion de CRH (corticotropin releasing hormone) et provoque en chaîne la stimulation de la glande médullosurrénale produisant l’adrénaline et la noradrénaline.

Par conséquent, la fréquence cardiaque et pulmonaire, et la tension artérielle augmente.

Ensuite, la phase de résistance fait intervenir le système nerveux parasympathique qui diminue la fonction des organes précédemment excités (cœur, poumon, tension artérielle). L’axe hypothalamo-hypophyso-surrénalien (HHS) stimule alors les glandes corticosurrénales qui produisent le cortisol permettant de maintenir l’homéostasie.

Enfin, la phase d’épuisement, que l’on peut associer au stress chronique. Le cerveau est saturé par le cortisol qui a alors un effet toxique sur le corps et augmente le risque de pathologie cardio-vasculaire, les troubles musculo-squelettiques et la santé mentale [1].

Hormones du stress

Les hormones du stress sont donc l’adrénaline, la noradrénaline et le cortisol. La libération de l'adrénaline et de la noradrénaline provoquent l’augmentation du rythme cardiaque, la pression artérielle et le taux de sucre dans le sang.

Ces neurotransmetteurs permettent à l’organisme de puiser dans ses réserves lors d’un danger potentiel (à l’origine du stress). Elles sont aussi indispensables au bon fonctionnement de la mémoire. Si le niveau d’hormones est trop bas ou trop haut, l’apprentissage est limité.

Cortisol

Hormone du stress par excellence, le cortisol joue un rôle important lorsque le stress se chronicise. Les glucocorticoïdes ont une action anti-inflammatoire et de recrutement du glucose (sucre) pour maintenir l’énergie et l’activité des systèmes neuronaux et neuromusculaires permettant la protection contre l’inflammation. Lors du stress chronique, la sécrétion de cortisol persiste et peut avoir un effet toxique sur l’organisme à long terme.

Des études ont montré que le prolongement et l’excès de sécrétion du cortisol peuvent provoquer une régulation diminuée et une résistance au GR (récepteur glucocorticoïde) avec un mécanisme similaire à l’insulino-résistance (résistance à l'insuline) que l’on retrouve dans le diabète. Il est suggéré que le cortisol aurait alors un effet pro-inflammatoire.

Ainsi, le cortisol perd sa fonction anti-inflammatoire lors du stress chronique et peut provoquer des maladies telles que l’ostéoporose, l’arthrite rhumatoïde, la myopathie, la fibromyalgie, le syndrome fatigue chronique, les douleurs pelviennes chroniques, la dysfonction de l’articulation temporo-mandibulaire, les douleurs chroniques du dos, la sciatique et autres [2].

Causes

Tout d’abord, les sources de stress sont propres à chacun.

Le stresseur « bruit » par exemple ou encore la rumination voire les émotions ressenties comme négatives  peuvent provoquer un stress important chez une personne et non pas chez une autre. Tout dépend de la vision que nous avons de l’agent stressant. Des études ont montré que la réaction face au stress varie en fonction de la génétique, de l’histoire personnelle, de la culture et du sexe [1].

Quelle douleur peut provoquer le stress ?

Plusieurs études montrent que la douleur et le stress sont liés. La douleur prolongée et exagérée augmente de façon significative la réponse au stress qui exacerbe à son tour la sensation douloureuse. Dans des conditions de stress aigu, le cortisol inhibe la douleur. Tout change dans le cas du stress chronique : des études suggèrent une association entre un hypocortisolisme et un hypercortisolisme responsable de l’augmentation des douleurs et de la fatigue. Cela dépendrait du niveau et de la durée de l’épisode douloureux. Par exemple, un court événement stressant (douleur par exemple) se répétant plusieurs fois d’affilée dans le temps, provoque une augmentation importante du taux de cortisol suivie d’une diminution du cortisol et d’une augmentation de la douleur [2].

 

Chronic Stress, Cortisol, and Pain
© Phys Ther, Vol. 94, Issue 12, 2014, p 1816–1825, https://doi.org/10.2522/ptj.20130597.

 

Quels sont les symptômes du stress ?

Téléconsultation gratuite
*appel gratuit fixe et mobile Fr. Métrop./Outre-mer

 

Les signes et symptômes du stress induits par la dysfonction du cortisol incluent les os et les problèmes musculaires, la fatigue, la dépression, les douleurs, les pertes de mémoire, la dérégulation sodium/potassium, l’hypotension orthostatique, et les mauvais réflexes pupillaires [2]. S’y ajoutent, les maux de tête, les troubles du sommeil et de l’appétit.

Comment savoir si on est stressé ?

En étant à l’écoute de son corps, il est possible de prendre conscience des phénomènes biologiques réactionnels qui donnent de précieuses informations.

Lorsque les êtres humains sont soumis à un élément stressant, se déclenche la réponse au stress (axe HHS) accompagnée d’une élévation des fréquences respiratoires et cardiaques et de la mobilisation du glucose afin de produire de l’énergie pour la fuite ou le combat.

Notre cerveau archaïque a enregistré que pour chasser un mammouth, il faut déclencher les réponses au stress : le système nerveux sympathique permet au système cardio-vasculaire d’être plus efficient, à la respiration de devenir plus profonde, aux sens de s’aiguiser, à la digestion de s’arrêter, à la production de sueur d’augmenter (transpiration, mains moites), et au système reproducteur de s’immobiliser [3].

Stress post-traumatique (TSPT)

Le stress post-traumatique fait suite à un ou des évènements traumatisants et se manifeste par des troubles psychologiques et physiques. Ce stress induit une distorsion de la mémoire qui se traduit par :

  • Une reviviscence répétitive des évènements sous forme de « flash backs » où la personne revit la scène ou pense être en présence de l’agresseur (cauchemars, peur réflexe aux stimuli,..) et s’ensuit les manifestations physiques de type sueur, pâleur, tachycardie, raidissement,….
  • Un évitement des pensées, des discussions ou des personnes qui ont un rapport avec le traumatisme.
  • Des troubles de l’humeur.
  • Une activité neurovégétative accrue expliquée par une hyper vigilance, une irritabilité, des difficultés de concentration, des troubles du sommeil.

En 2016, l’Inserm, le CNRS et HESAM Université lancent l’étude « remember » afin d’observer les impacts des évènements tragiques du 13 Novembre 2015.

Le but de cette étude sera de réaliser des entretiens et des analyses de neuroimagerie pour comprendre les mécanismes de résurgence des images et de pensées associées à l’événement. Le but est de mieux comprendre comment fonctionne la mémoire individuelle et collective suite à un évènement traumatisant [4].

Diarrhée et stress

La sécrétion des hormones du stress peut conduire à une augmentation de la sécrétion des liquides, d’électrolytes et des glaires dans l’intestin. Le corps absorbe moins de liquides et d’électrolytes, par conséquent les selles deviennent plus aqueuses.

Des études ont montré que le stress chronique pouvait influencer l’augmentation des troubles intestinaux surtout chez les personnes atteintes de maladies inflammatoires de l’intestin (colite ulcéreuse et maladie de Crohn) en affectant la réponse immunitaire gastro-intestinale et inflammatoire [5].

Nausées et stress

Après un stress, le nerf vague (système parasympathique), peut provoquer des symptômes physiques comme des nausées et des vomissements en cas d’hyperstimulation.

Téléconsultation gratuite
*appel gratuit fixe et mobile Fr. Métrop./Outre-mer

 

Urticaire et eczéma

La réponse de la peau au stress est complexe et a besoin d’un réseau de cellules, d’hormones et de neurotransmetteurs. L’ensemble des processus qui intervient lors d’un stress sont impliqués dans des maladies de peau et symptômes cutanés tels que l’urticaire chronique, des allergies, le psoriasis, la dermatite atopique (ou eczéma), les infections par le VPH (papillomavirus) et certaines infections virales, le prurit, la perte de cheveux et l’acné. La peau est un organe complet qui possède son propre système immunologique. La réponse au stress provoque la sécrétion de corticostéroïdes et d’autres médiateurs ayant un impact sur l’intégrité, l’inflammation et la guérison potentielle. De plus, des études montrent que les traitements psychiatriques ont un effet positif sur les maladies de peau confirmant ainsi le lien entre le stress et les effets néfastes sur la peau [6].

Stress aigu

Le stress aigu se manifeste à la suite de 4 situations : perte de contrôle, imprévisibilité, nouveauté et menace à l’ego d’où l’acronyme CINÉ. Dans ce cas, le stress n’est pas forcément mauvais puisqu’il nous permet de sécréter des hormones nous aidant à gérer la situation [3].

Stress chronique

Le stress devient chronique lorsqu’une personne est soumise à la répétition d’une situation de stress qui peut mener jusqu’à l’épuisement. Il est alors à l’origine des maladies cardiovasculaires, de l’augmentation de la pression artérielle (temporaire, car il a été démontré que le stress n’est pas à l’origine de l’hypertension qui fluctue [1]), du taux élevé de cholestérol, du diabète de type II, de la dépression, de l’obésité abdominale (stockage de graisse afin d’avoir un accès rapide à la mise en réserve d’énergie).

Le cortisol permet de garder l’homéostasie entre le sel et l’eau, indispensable au bon fonctionnement du cœur. Normalement, le taux d’insuline doit diminuer lorsque le cortisol augmente, les cellules deviennent alors de plus en plus sourdes au message de l’insuline avec un risque élevé de diabète de type II (insulino-dépendant) [3].

Zona et stress

Le Zona est un virus de de la famille des herpès-virus à l’origine d’éruptions vésiculeuses localisées douloureuses le long d’un nerf ou d’un ganglion sensitif. Ainsi, face à une agression, l’organisme réagit. Les personnes les plus enclines à développer un zona sont les personnes atteintes d'une maladie affaiblissant le système immunitaire (cancer, infection par le virus de l'immunodéficience humaine ou VIH, etc.), traitements de chimiothérapie ou de radiothérapie et médicaments à base de corticostéroïdes ou d’immunodépresseurs [7].

 

Un homme en état de stress aigu

 

Comment gérer et évacuer son stress ?

Plusieurs méthodes existent et dépendent du niveau de stress de la personne concernée. La prise en charge sera différente selon les conséquences (perte d'appétit, maladie grave,...)  , et si le stress se manifeste après un traumatisme, au travail (burn-out), à cause des bruits, avec la vie relationnelle, etc.

Voici une liste non exhaustive des solutions possibles face à un agent stressant et dont la mise en place peut se faire avec l'aide d'un professionnel de santé.

Anti-stress

  • La thérapie cognitivo-comportementale est recommandée par la Haute Autorité de Santé (HAS) dans la prise en charge des troubles anxieux et du stress post-traumatique. Ce sont des thérapies brèves (12 à 25 séances) s’occupant des distorsions cognitives, c’est-à-dire, de la réalité déformée par l’état de stress de la personne. Cela peut aller du travail émotionnel à celui des croyances qui modifient la vision de la situation et amplifient le stress [1].
  • EMDR  ou « Désensibilisation et retraitement par le mouvement des yeux » induit des mouvements des yeux identiques à ceux qui se produisent lors d’un rêve afin de modifier un événement considéré comme désagréable et/ou stressant et en quelque sorte forcer le cerveau à considérer ses souvenirs comme classés et révolus [1].
  • L’art-thérapie : « différentes médiations sont utilisées en art-thérapie, comme l’expression théâtrale, arts plastiques (médiation picturale avec un artiste peintre d’art contemporain, dessin,…), la musique, des ateliers d’art pour créer des marionnettes, etc. ». Des études ont montré que l’art-thérapie [8] diminue le stress chez les adolescents et les patients atteints de cancer.
  • La médiation équine (équithérapie, équicoaching, équicie) : on connaît aujourd’hui les bienfaits de la médiation équine [9] pour les êtres humains. Elle est d’ailleurs utilisée dans le cadre du stress post-traumatique chez les militaires. De plus, HeartMath Institute® [10] a mis en évidence que l’état du cheval pouvait influencer l’état de l’humain plus que son environnement. Donc, interagir avec les chevaux nous permet d’être beaucoup plus réceptif à l’autre (communication non verbale).
  • L’activité physique : le yoga, le tai-chi et le pilates sont aujourd’hui des activités physiques qui sont entrées dans les mœurs. Ils sont bénéfiques comme anti-stress car ils utilisent la respiration qui régule le système nerveux autonome (sympathique et parasympathique).
  • La méditation [11] : elle permet d’être dans le moment présent, à l’écoute de son corps et de ses émotions. Méditer ressource et augmente les ondes alpha du cerveau favorisant ainsi la créativité, la détente, la concentration et le bien-être.
  • L’alimentation [12], le sommeil, l’hygiène de vie : le sommeil régule notre système immunitaire. L’organisme fabrique pendant cette période des leucocytes (globules blancs), garants de la défense immunitaire du corps. D’autre part, une alimentation équilibrée est essentielle. Ainsi, il faut rester vigilant en choisissant de bons produits et en prenant le temps de consommer trois repas par jour. En période de stress, la sensation de faim peut être exacerbée ou, au contraire, diminuée. Il est important de commencer par identifier les situations qui déclenchent des accès boulimiques. Par ailleurs, il est préférable d’éviter les excitants (café [13], soda de type cola, thé [14]) le soir.
  • La cohérence cardiaque ou 3.6.5. :  « L’effet principal d’une séance de cohérence cardiaque est l’équilibrage, le recentrage émotionnel, et la modulation du cortisol (hormone du stress). » précise le Dr David O’Hare. Les chiffres 3-6-5 signifient :  3 fois par jour, 6 respirations par minute, pendant 5 minutes. Cette respiration rythmée permet de réguler le système neuro-végétatif et de créer un équilibre en régulant la fréquence cardiaque. L’effet dure environ 4 heures [15]. Il existe des applications permettant de le faire n’importe où ce qui peut être utile pour le stress au travail par exemple.
  • Huiles essentielles : certaines huiles essentielles [16] sont anti-stress, comme le petit grain bigarade, la camomille romaine, la lavande fine, la bergamote, la marjolaine et l’ylang-ylang [17].

Médicaments contre le stress

Les anxiolytiques (benzodiazépine) sont conseillés aux patients. Cependant, il faut faire attention à la dépendance psychologique et physique dans le cadre d’une surconsommation. Viennent ensuite les antidépresseurs de la famille des inhibiteurs de la sérotonine (neurotransmetteur présent dans le cerveau), la plus utilisée étant la paroxétine. Le médecin peut aussi recommander le venlafaxine, inhibiteur de la sérotonine et noradrénaline. En dernière intention, le médecin peut prescrire de la clomipramine, un médicament de la famille des imipraminiques [18].

Euphytose® stress

Euphytose® est un médicament anti-stress à base de plantes traditionnelles [19] composé de Crataegus (aubépine, famille des Rosacées), Ballota (famille des Lamiaceae), Passiflora (famille des Passifloraceae) et Valeriana (valériane) qui ont des effets sédatifs, et Cola (famille des Malvaceae) et Paullinia (famille des Sapindaceae), qui ont des effets stimulants. Ces plantes sont souvent utilisées en médecines douces [20]. Une étude a prouvé l’efficacité du médicament sur le stress, face à une population ayant pris un placebo [21].

Sources

  1. Des stress et moi, fondation April. https://www.fondation-april.org/images/pdf/Des-stress-et-moi.pdf
  2. Chronic Stress, Cortisol Dysfunction, and Pain: A Psychoneuroendocrine Rationale for Stress Management in Pain Rehabilitation Kara E. Hannibal,  Mark D. Bishop Author Notes Physical Therapy, Volume 94, Issue 12, 1 December 2014, Pages 1816–1825. https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/25035267/
  3. Centre d’études sur le stress humain : https://www.stresshumain.ca/le-stress/comprendre-son-stress/reconnaitre-son-stress/
  4. Troubles du stress post-traumatique, Quand un souvenir stressant altère les mécanismes de mémorisation : https://www.inserm.fr/dossier/troubles-stress-post-traumatique/
  5. Psychological stress in IBD: new insights into pathogenic and therapeutic implication J E Mawdsley, D S Rampton Correspondence to: Professor D S Rampton Endoscopy Unit, Royal London Hospital, London E1 1BB, UK. Gut. 2005 Oct;54(10):1481-91. doi: 10.1136/gut.2005.064261. https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/16162953/
  6. Stress, pseudoallergens, autoimmunity, infection and inflammation in chronic spontaneous urticaria, Ciara Jade Bansal, Amolak Singh Bansal; Allergy Asthma Clin Immunol. 2019 Sep 11;15:56. doi: 10.1186/s13223-019-0372-z. eCollection 2019. https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/31528163/
  7. Stress, système immunitaire et maladie infectieuse: https://www.psychaanalyse.com
  8. Art-thérapie: ses bienfaits sur la santé: https://www.le-guide-sante.org/actualites/forme-et-bien-etre/art-therapie-bienfaits-sante
  9. Les bienfaits de la médiation équine : https://www.le-guide-sante.org/actualites/forme-et-bien-etre/bienfaits-mediation-equine
  10. HeartMath Institute®. https://www.heartmath.org/
  11. Méditation de pleine conscience : se relier à l’instant présent. https://www.le-guide-sante.org/actualites/forme-et-bien-etre/meditation-pleine-conscience-bienfaits
  12. Régime alimentaire anti stress : les aliments bons pour la santé. https://www.le-guide-sante.org/actualites/nutrition/regime-alimentaire-anti-stress

  13. Café : bienfaits et méfaits sur la santé. https://www.le-guide-sante.org/actualites/nutrition/cafe-bienfaits-mefaits-sante-nutrition

  14. Thé : bienfaits et méfaits pour la santé. https://www.le-guide-sante.org/actualites/nutrition/the-bienfaits-mefaits-sante-nutrition

  15. 3-6-5. Blog Libre & Sens - Équicoaching. https://libre-et-sens.fr/3-6-5/

  16. Médecine douce : le guide des médecines douces. https://www.le-guide-sante.org/actualites/forme-et-bien-etre/medecines-douces-guide-recommandations

  17. Le top 6 des huiles essentielles pour lutter contre le stress.  https://www.aroma-zone.com/info/fiches-conseils/sante/douleurs-et-troubles-nerveux/lutter-contre-le-stress-avec-les-huiles-essentielles#sommaire6

  18. Le traitement de la crise d'angoisse aiguë et du trouble panique : https://www.ameli.fr/assure/sante/themes/trouble-panique/traitement
  19. Quelles tisanes et quelles plantes pour bien dormir ? https://www.le-guide-sante.org/actualites/forme-et-bien-etre/tisanes-plantes-bio-bien-dormir
  20. Médecine douce : le guide des médecines douces. https://www.le-guide-sante.org/actualites/forme-et-bien-etre/medecines-douces-guide-recommandations

  21. A combination of plant extracts in the treatment of outpatients with adjustment disorder with anxious mood: controlled study versus placebo M. Bourin, T. Bougerol, B. Guitton, E. Broutin,  First published: 26 August 2009. https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/9107558/
Téléconsultation gratuite
*appel gratuit fixe et mobile Fr. Métrop./Outre-mer

 

Le guide des hôpitaux et cliniques de France.

Recherchez parmi les 1335 établissements