Sang dans les selles : quelles sont les causes ?

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Le saignement rectal, "rectorragie", ou plus populairement "sang dans les selles", est un symptôme d'affections telles que les hémorroïdes, les fissures anales, les maladies inflammatoires de l'intestin, les ulcères et le cancer colorectal.

En règle générale, une personne remarque des saignements rectaux sur du papier hygiénique, dans l'eau de la cuvette des toilettes ou dans les selles. Dès lors, il est important de contacter le médecin traitant si les saignements rectaux persistent, car cela pourrait être le signe d'un problème médical grave. Les saignements rectaux peuvent également être causés par les hémorroïdes, mais aussi d'un signe de cancer du côlon ou du rectum.

Symptôme de nombreuses conditions médicales différentes, seul un professionnel de la santé peut diagnostiquer les causes de ce saignement.

Analyse d'une rectorragie (sang rouge par l'anus)
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La présence de sang dans les selles chez la femme, l’homme ou l’enfant, appelé aussi « saignement rectal », « saignement du tractus gastro-intestinal » [1] ou « saignement gastro-intestinal », est généralement un symptôme d'affection telles que les hémorroïdes, les fissures anales, les maladies inflammatoires de l'intestin (MICI), les ulcères et le cancer colorectal, ou les suites d’un rapport sexuel (pratiques sexuelles anales).

En règle générale, les saignements rectaux se remarquent notamment sur le papier toilette, dans l'eau de la cuvette des toilettes ou directement dans les selles. Il peut être effrayant de voir apparaître du sang dans les toilettes, cependant, la plupart des causes de saignement rectal ne mettent pas la vie des personnes en danger (autant chez les enfants que chez les personnes âgées).

Les causes les plus courantes comprennent les hémorroïdes et les fissures anales, et la seule façon de prendre en charge ces symptômes et de connaître les causes possibles du saignement est de consulter un médecin généraliste dans les meilleurs délais.

En effet, la plupart des personnes qui ont des saignements rectaux mineurs n'ont pas de cancer du côlon ou une autre maladie grave.

Néanmoins, il n'est pas toujours possible de déterminer les causes possibles du saignement par soi-même sans un examen approfondi réalisé par un professionnel de santé en cabinet de ville ou en établissement hospitalier.

En orientant un patient vers une consultation, il sera possible de bénéficier de différents examens et analyses médicales adaptées.

Cette prise en charge permettra d’obtenir des explications claires et éventuellement un traitement médicamenteux adéquat.

Diarrhées, glaires, sang rouge, sang noir dans les selles…

Comment détecter et reconnaître du sang dans les selles ?

Lorsque du sang apparaît dans les selles (selles chez la femme et chez l’homme), cela peut se présenter de différentes manières. Il peut y avoir des traînées de sang rouge présent dans les selles, un mélange de selles et de sang, ou un saignement non visible à l’œil nu (ce qu'on appelle un saignement occulte).

Sang dans les selles sans douleur, sang visible dans les selles,...

L’apparition de sang provenant du tube digestif (œsophage, l'estomac, intestin grêle, gros intestin ou côlon, rectum, anus) peut être causée par des lésions (lésions de l'abdomen, lésions de l’appareil digestif, lésion du rectum, etc.), et il existe de nombreuses causes de saignement du tractus gastro-intestinal. La gravité peut varier d'un saignement léger, ce qui est le plus fréquent, à un saignement grave menaçant le pronostic vital dans des cas plus rares.

Tous les saignements ne proviennent pas réellement du passage arrière (rectum), et le sang peut venir de n'importe où dans l’intestin. De nombreuses causes de saignement rectal (hémorragie gastro-intestinale) peuvent provenir de plusieurs parties du tractus gastro-intestinal et créer une altération de l'état général.

Lorsque que la présence de sang dans les selles peut être visible à l’œil nu sur le papier hygiénique ou dans les toilettes après une selle sous forme de sang rouge vif (appelé aussi « hématochézie » [2]), ce symptôme bénin correspond le plus souvent à un saignement rectal léger et passager. Néanmoins, dans cette situation, il est très fortement recommandé de prendre rendez-vous auprès d’un professionnel de santé pour une consultation qui permettra de déterminer la cause exacte et éviter les gênes occasionnées.

Par contre, les saignements qui surviennent plus haut dans le tube digestif peuvent rendre les selles noires et goudronneuses, pâteuses et nauséabondes, un symptôme appelé aussi en médecine « melæna », ou « méléna » (hémorragie en amont de l'angle colique droit). Si le saignement est abondant ou si les selles sont noires (ce qui provient d’un sang plus vieux en raison d'un saignement situé en haut dans l’intestin), il est impératif de consulter un médecin dans les plus brefs délais. Ceci permettra un suivi médical étroit et d’écarter les éventuelles causes de mauvais diagnostic.

Ainsi, avoir du sang dans les selles signifie qu'il y a des saignements quelque part dans le tube digestif, et parfois, la quantité de sang est si petite qu'elle ne peut être détectée que par un test spécifique. Le test de recherche du sang occulte fécal (RSOF) [3] est le test le plus couramment pratiqué.

Effectivement, « le test de recherche du sang occulte fécal (RSOF) est souvent utilisé mais ses caractéristiques et son utilité réelle sont souvent mal comprises. Les tests actuellement les plus utilisés sont immunochimiques ; ils sont faciles d'emploi et possèdent une bonne spécificité pour le dépistage de la globine humaine. La performance diagnostique de la RSOF est cependant médiocre pour le diagnostic du cancer colorectal, et la disqualifie en pratique clinique, lorsqu'il est important de confirmer ou d'exclure l'existence d'un saignement digestif. En médecine préventive en revanche, sa simplicité d'utilisation contrebalance en partie sa médiocrité diagnostique. »

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Sang dans les selles chez l’enfant et chez bébé

Voir du sang sur les selles chez un enfant ou un bébé est une condition courante chez les enfants et n'est généralement pas grave selon la fréquence, la quantité de sang, l’âge et l’état de santé sous-jacent.

Par contre, il existe de nombreuses causes du saignement, et pour trouver l’origine précise du sang dans les selles chez l’enfant et chez bébé il est recommandé de consulter un professionnel de santé pour déterminer la source du saignement et le traitement le plus approprié.

De la sorte, le médecin proposera la meilleure approche pour déterminer la cause du saignement gastro-intestinal. Grâce à un examen physique (inspection de l'extérieur de l’anus et du rectum, anuscopie, etc.), et à des tests diagnostiques (sigmoïdoscopie, coloscopie, etc.) pour examiner l'intérieur du côlon, du rectum et de l’anus, la probabilité d’un risque d'une pathologie grave pourra être écartée.

Est-il dangereux d'avoir du sang dans les selles ?

Les causes possibles de saignement dans le tube digestif dépendent du site et de la gravité du saignement.

Bien que la cause du saignement puisse ne pas être grave (symptôme bénin), il est important de localiser la source du saignement et exclure le risque d'une pathologie, tel que le risque de cancer du côlon, de colite ulcéreuse, de tumeurs, de rectocolite hémorragique, ou de la maladie de Crohn.

Quand s'inquiéter du sang dans les selles ?

Les saignements peuvent provenir d'une ou plusieurs zones du tractus gastro-intestinal. De ce fait, des symptômes tels que des changements dans les habitudes intestinales, la couleur des selles, la consistance, la présence de douleurs ou de sensibilité doivent pousser un patient vers l'hépato-gastro-entérologue [4].

Le sang rouge vif ou les selles de couleur marron indiquent généralement un problème dans la partie inférieure du tube digestif comme des hémorroïdes ou une diverticulite.

Après avoir obtenu des antécédents médicaux et effectué un examen physique, un professionnel de la santé peut demander des tests pour déterminer la cause exacte du saignement dans les selles.

En effet, seul un professionnel de la santé pourra déterminer la cause possible du saignement et la dangerosité des symptômes.

Sang dans les selles : quel médecin consulter ?

Les saignements rectaux (émission par l'anus de sang rouge non digéré) sont généralement pris en charge par un professionnel de la santé spécialisé comme un gastro-entérologue, un chirurgien du côlon et du rectum ou un proctologue (qui peut être gastro-entérologue ou chirurgien digestif de formation).

Prenez impérativement rendez-vous avec votre médecin traitant si vous avez des saignements rectaux qui durent plus d'un jour ou deux, ou plus tôt si les saignements vous inquiètent. Le médecin pourra vous orienter vers le spécialiste adapté et permettre une prise en charge optimale.

Rectorragie, saignements au niveau de l’anus

Quelle maladie provoque du sang dans les selles ?

Les causes possibles du saignement rectal sont nombreuses, mais ce symptôme anormal peut autant être un symptôme bénin que le symptôme d’un cancer du côlon. Ainsi, les causes des saignements rectaux peuvent aller de légères à graves, et doivent toujours guider le patient vers une consultation pour éviter les causes de mauvais diagnostic.

Des causes bénignes courantes et non graves surviennent généralement par l’apparition d’une petite quantité de sang rouge présent (sang rouge vif) sur le papier hygiénique, à l'extérieur des selles ou dans les toilettes, cela peut être causé par des hémorroïdes (poussées hémorroïdaires) ou une fissure anale. Ces deux conditions sont bénignes et il existe des traitements.

Les causes bénignes associées aux saignements rectaux comprennent :

  • les fissures anales ou les petites déchirures dans la muqueuse de l’anus ;
  • la constipation ou les selles dures et sèches ;
  • les hémorroïdes ou veines de l'anus ou du rectum qui deviennent irritées ;
  • les polypes (il existe un type de polypes sans gravité, mais les gros polypes sont plus à risque) ou les petites excroissances tissulaires dans la muqueuse du rectum ou du côlon qui peuvent saigner après avoir passé les selles.

Bien que la plupart des saignements rectaux soient sans gravité, ils peuvent également être causés par des conditions cancéreuses ou précancéreuses.

Les polypes précancéreux près de l'extrémité du côlon (gros intestin) peuvent imiter les saignements d'hémorroïdes.

Ces polypes sont généralement présents dans le côlon pendant des années avant de devenir cancéreux, et ils peuvent être retirés du côlon en toute sécurité, empêchant la progression vers le cancer.

Les causes de saignement rectal plus graves comprennent :

  • le cancer de l’anus [5] ;
  • le cancer du côlon [6] ;
  • la maladie inflammatoire de l'intestin (MICI), qui comprend la colite ulcéreuse (CU) et la maladie de Crohn ;
  • une infection gastro-intestinale ou des infections causées par des bactéries, telles que la salmonelle [7] .

Les causes de saignement rectal moins courantes comprennent les troubles de la coagulation sanguine et les réactions allergiques à certains types d’aliments.

Notons qu’il peut y avoir une modification de la couleur des selles avec des suppléments alimentaires et produits alimentaires riches en fer, contenant du bismuth ou des aliments comme les betteraves. Les selles avec des produits de ce type peuvent prendre la même apparence que des saignements du tube digestif.

 

Quels sont les premiers symptômes du cancer du côlon ?

Le cancer du côlon, appelé aussi « cancer colorectal », est un type de cancer qui débute dans le gros intestin (côlon), qui est la dernière partie du tube digestif. Ce cancer affecte généralement les personnes âgées, bien qu'il puisse survenir à tout âge selon plusieurs facteurs (hygiène de vie, antécédents médicaux, etc.).

Les symptômes du cancer du côlon commencent généralement par de petits amas de cellules non cancéreuses bénignes appelées « polypes », qui se forment à l'intérieur du côlon et qui au fil du temps peuvent devenir des cancers du côlon.

Les polypes peuvent être de petite taille et produire peu ou pas de symptômes.

De ce fait, les médecins recommandent des tests de dépistage réguliers pour aider à prévenir le cancer du côlon en identifiant et en éliminant les polypes avant qu'ils ne se transforment en cancer.

Si le cancer du côlon se développe chez un patient, de nombreux traitements sont disponibles actuellement pour aider à le contrôler, notamment la chirurgie, la radiothérapie et les traitements médicamenteux, tels que la chimiothérapie, la thérapie ciblée et l’immunothérapie [8].

Les signes et symptômes du cancer du côlon comprennent :

  • un changement persistant dans les habitudes intestinales, y compris la diarrhée ou la constipation ou un changement dans la consistance des selles ;
  • un saignement rectal ou du sang dans vos selles ;
  • un inconfort abdominal persistant, tel que crampes, gaz ou douleur ;
  • une sensation que l’intestin ne se vide pas complètement ;
  • de la faiblesse ou fatigue (asthénie) ;
  • une perte de poids inexpliquée.

Soulignons que de nombreux patients atteints d'un cancer du côlon ne présentent aucun symptôme aux premiers stades de la maladie. Lorsque les symptômes apparaissent, ils varient probablement en fonction de la taille et de l'emplacement du cancer dans le gros intestin. Si une personne remarque des symptômes persistants et qui l’inquiètent, il est vital de prendre rendez-vous avec un médecin généraliste.

De manière générale, les médecins ne sont pas certains des causes de la plupart des cancers du côlon. Habituellement, le cancer du côlon commence lorsque des cellules saines du côlon développent des changements, des mutations dans leur ADN [9] (acide désoxyribonucléique).

En effet, les cellules saines se développent et se divisent de manière ordonnée pour que l’organisme fonctionne normalement. Toutefois, lorsque l'ADN d'une cellule est endommagé et devient cancéreux, les cellules continuent de se diviser, même lorsque de nouvelles cellules ne sont pas nécessaires. A ce stade, les cellules s’accumulent et forment une tumeur.

Ensuite, les cellules cancéreuses peuvent se développer pour envahir et détruire les tissus normaux à proximité. Effectivement, les cellules cancéreuses peuvent circuler vers d'autres parties du corps et y former des dépôts de croissance cellulaire (métastases).

Les facteurs qui peuvent augmenter le risque de cancer du côlon comprennent :

  • L’âge : la majorité des personnes atteintes de cancer du côlon ont plus de 50 ans.
  • L’origine ethnique : certaines études montrent que le risque de cancer du côlon est plus élevé dans certaines ethnies plus que d’autres.
  • Les antécédents médicaux et les conditions intestinales inflammatoires.
  • L’hérédité et les antécédents familiaux : les syndromes héréditaires augmentent le risque de cancer du côlon. Certaines mutations génétiques transmises à travers les générations d’une famille peuvent augmenter considérablement le risque de cancer du côlon.
  • Un régime alimentaire pauvre en fibres et trop riche en graisses : le cancer du côlon peut être associé à un régime alimentaire occidental typique, pauvre en fibres et riche en graisses et en calories.
  • Le surpoids et l’obésité : les personnes obèses ont un risque accru de cancer du côlon et un risque accru de mourir d'un cancer du côlon par rapport aux personnes considérées de poids normal.
  • La sédentarité : un mode de vie sédentaire rend plus susceptibles de développer un cancer du côlon.
  • Le diabète : les personnes atteintes de diabète ou de résistance à l'insuline ont un risque accru de cancer du côlon.
  • Le tabagisme et l’alcoolisme : les personnes qui fument et les personnes qui ont une consommation excessive d'alcool peuvent avoir un risque accru de cancer du côlon.
  • La radiothérapie dans le cadre du traitement des cancers : la radiothérapie dirigée vers l'abdomen pour traiter certains cancers augmente le risque de cancer du côlon.

Enfin, les médecins recommandent aux personnes présentant un risque moyen de cancer du côlon d'envisager un dépistage du cancer du côlon vers l'âge de 50 ans. Mais les personnes à risque accru, comme celles ayant des antécédents familiaux de cancer du côlon, devraient envisager un dépistage plus tôt.

De plus, des changements de mode de vie pour réduire le risque de cancer du côlon sont simples à mettre en place et peuvent réduire considérablement le risque de cancer du côlon.

En apportant des changements à la vie quotidienne, comme avoir une alimentation équilibrée, boire de l’alcool avec modération, ne pas fumer, pratiquer de l’exercice physique quotidiennement et maintenir un poids santé, un patient peut prévenir et réduire au maximum le risque d'une pathologie comme le cancer du côlon et d’autres pathologies du tractus gastro-intestinal.

Photo et vidéo de sang dans les selles

Afin de trouver des informations précises (en français), premièrement il est préférable de de consulter un médecin généraliste ; que ce soit sur le sang dans les selles, les rectorragies minimes (hémorragie digestive), les malformations vasculaires (dilatation des veines,…), la présence d'hémorroïdes, le cancer du côlon, les douleurs intestinales ou la constipation. Ensuite, pour trouver des photos et des vidéos, il est fortement conseillé de s’orienter vers des sites Internet et des forums médicaux reconnus comme les sites de la Société Nationale Française de Colo-Proctologie (SNFCP) [10] ou de l’INSERM [11], par exemple.

Sources

  1. « Saignement gastro-intestinal (saignement GI) », Parswa Ansari , MD, Hofstra Northwell-Lenox Hill Hospital, New York. Dernière révision totale déc. 2019. https://www.msdmanuals.com/fr/accueil/troubles-digestifs/saignement-gastro-intestinal/saignement-gastro-intestinal
  2. « Hémorragies digestives basses : conduite à tenir. » Alan Barkun. https://www.fmcgastro.org/textes-postus/postu-2017/hemorragies-digestives-basses-conduite-a-tenir/
  3. « Recherche du sang fécal occulte : quelle utilité en pratique ? » , Ph. de Saussure, Rev Med Suisse 2000 ; volume -4. 20783, https://www.revmed.ch/RMS/2000/RMS-2314/20783
  4. « Gastro-entérologie. Qu'est-ce que l’hépato-gastro-entérologie ? ». https://www.elsan.care/fr/patients/gastro-enterologie
  5. « Le cancer de l’anus », Société Nationale Française de Colo-Proctologie (SNFCP). https://www.snfcp.org/informations-maladies/cancer/cancer-de-lanus-2014/
  6. « Le cancer du côlon : points clés. », Institut National du Cancer (INCa). https://www.e-cancer.fr/Patients-et-proches/Les-cancers/Cancer-du-colon/Points-cles
  7. « Les salmonelloses. » Institut Pasteur. https://www.pasteur.fr/fr/centre-medical/fiches-maladies/salmonellose
  8. « L’immunothérapie. » Institut National du Cancer (INCa). https://www.e-cancer.fr/Patients-et-proches/Les-cancers/Melanome-de-la-peau/Traitements-medicamenteux/L-immunotherapie
  9. « Mutations de l'ADN mitochondrial et cancer colorectal. » Doi : GCB-01-2005-29-1-0399-8320-101019-200510524. 2008. https://www.em-consulte.com/article/100026/mutations-de-l-adn-mitochondrial-et-cancer-colorec
  10. « Hémorroïdes. » Société Nationale Française de Gastro-Entérologie (SNFGE). 2018. https://www.snfge.org/content/hemorroides
  11. Maladies inflammatoires chroniques de l’intestin (MICI), https://www.inserm.fr/information-en-sante/dossiers-information/maladies-inflammatoires-chroniques-intestin-mici
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